LE SUCRE BLANC, LOIN D’ÊTRE NATUREL…
Voici les étapes de fabrication du sucre blanc, de bonnes raisons pour l’écarter de votre alimentation !
• La betterave est broyée ;
• Ses acides sont neutralisés par de la chaux ;
• Le jus subit l’adjonction d’un acide (étape appelée « défécation » ou « clarification »), ce qui donne des sucrates ;
• Aux sucrates est ajouté de l’anhydride carbonique en chauffant et en agitant ;
• On filtre le jus obtenu sous pression ;
• On sulfite à l’anhydride sulfureux liquide ou gazeux ;
• On filtre sur du charbon animal (os d’animaux calcinés) ;
• On décolore au sulfoxyalate de sodium ;
• On refond ;
• On clarifie sur charbon de bois ;
• On sèche à l’alcool isopropidique ;
• On bleuit au E130 ou bleu anthraquinonique, un composé issu du pétrole !
Ce mode d’alimentation n’est pas un énième régime miracle qui aurait été inventé par un nutritionniste en mal de notoriété (et d’argent). C’est tout d’abord un mode d’alimentation « naturel » ancestral.
En effet, il y a des milliers d’années, les hommes se nourrissaient de ce qu’ils trouvaient dans la nature. [...] Leurs menus se composaient essentiellement de poissons, viandes, plantes sauvages, noix et graines, parfois quelques fruits… Leur alimentation était donc pauvre en glucides. Leur organisme puisait principalement son énergie non pas dans le sucre (comme nous le faisons aujourd’hui) mais dans les graisses.
Basée sur une autre répartition des protéines/lipides/glucides, l’alimentation cétogène serait donc un retour aux sources, une façon de renouer avec une alimentation originelle plus saine et plus adaptée à la nature de l’homme.
La clé pour y parvenir est de changer en douceur, progressivement, mais aussi de comprendre pourquoi on mange mal et savoir quels vont être les bénéfices de ce changement pour sa santé à court terme et à long terme.
Le passage en cétose, C'est à dire la transition d'un métabolisme à un autre, peut parfois s'accompagner de quelques désagréments, heureusement passagers.