Parler de sa mort, donc de la façon dont il a choisi de se la donner, est tabou. C’est la double peine, silence et silence. Parfois, on croirait même qu’il a commis une mauvaise action. Ceux-là même qui se gargarisent avec leur liberté, revendication que j’ai toujours trouvée un peu louche – liberté de quoi? de tromper sa femme? D’humilier ses collègues?-, ceux-là mêmes ont l’air de trouver suspecte la liberté ultime d’en finir avec la vie.