(..) dans le jeu de Martha il avait l'impression d'entendre battre le pouls de l'univers. Elle ne "jouait" pas Bach, elle faisait se lever le soleil sur le monde. Mais cette clarté, qui illuminait tout, l'aveuglait et lui brûlait les doigts. Son esprit tourmenté et ses nerfs fragiles formaient une éclipse, dont l'obscurité bienfaisante semblait la rassurer.