Olivier Dauger

C'est une belle et prestigieuse histoire pour tous à laquelle si besoin était Olivier Dauger a su avec cet album donner ses lettres de noblesse et en faire un ouvrage de référence qui ravive des souvenirs d’enfance quand la PF était sur Mystère ou Fouga.
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St. Mary Mead, 1966. Mr et Mrs Bantry sont perplexes. Comment une jeune fille du genre de la victime a-t-elle fini défigurée et abandonnée dans la bibliothèque de leur manoir ? La police est dépêchée sur les lieux et Mrs Bantry fait appel à Miss Marple.



J'ai retrouvé avec plaisir le dessin ligne claire d'Olivier Dauger avec, de plus, de superbes illustrations pleine page. N'ayant pas lu le roman originel d'Agatha Christie, j'ai découvert l'intrigue par cette bande dessinée et je me suis surprise à scruter chaque planche à la recherche d'indices. Un bon moment !



Toutefois, certains choix scénaristiques de Dominique Ziegler m'étonnent. Pourquoi transposer l'histoire dans les années soixante alors que le roman d'Agatha Christie se déroule dans les années quarante ? Et pourquoi garder certains mots en anglais ? Je comprends que les civilités (Mr/Mrs/Ms/Sir) ou les petits mots familiers (my dear/ darling) rappellent que l'histoire se passe en Angleterre mais pourquoi ne pas traduire « breakfast » ou « thank you » ?



Une belle découverte malgré tout, merci à la Culturethèque ! Je lirai avec plaisir le tome suivant des aventures dessinées de notre charmante détective…

Qu’est-ce que je l’aurai vu, ce cadavre dans la bibliothèque !



D’abord en série télé, avec Miss Marple, puis à nouveau dans une autre série, celle des Petits Meurtres d’Agatha Christie (Un cadavre sur l’oreiller) et maintenant, en bédé !



Il ne me restera plus qu’à lire le roman original, la seule version que je n’ai pas encore découverte.



Quel intérêt de lire en bédé un récit que l’on a déjà vu adapté deux fois à la télé ? Aucun, puisque je me souviens encore du pourquoi et du comment. Juste le plaisir de voir ce que les auteurs en ont fait en l’adaptant dans un court format.



Les dessins ont un petit air rétro qui sied bien à l’époque où est censée se dérouler cette enquête et j’ai apprécié la vue plongeante, comme si je regardais la scène avec le cadavre dans la biblio, assise sur le plus haut rayonnage.



Les personnages sont anglais jusqu’au bout des ongles, notamment le couple qui a un cadavre dans sa biblio, menaçant la bonne de licenciement parce qu’ils ne la croient pas.



Le policier plus âgé considère la musique des Beatles est une musique de sauvage, le plus jeune, l’inspecteur Flem, interpelle Miss Marple en disant "La vieille" puis se lamentera sur les hippies qui sont riches et la jeunesse qui fout le camp. Les bons vieux préjugés sont toujours bien là !



Miss Marple est une charmante petite dame, d’un certain âge, que les autres pensent inoffensive (s'ils savaient!).



L’intrigue est bien respectée, les 66 pages aident aussi à être plus précis dans les détails et à ne pas devoir trancher dans les choses importantes. J’ai apprécié les duels entre Miss Marple et le jeune inspecteur Finch, leurs regards noirs qu’ils se sont lancés à un moment donné. Les quelques traits d’humour proférés par Miss Marple ajouterons une pincée de sel à ce récit.



Voilà une adaptation très bien réalisée, tout s’enchaîne, il ne manque rien de l’essentiel, Miss Marple prendra bien le temps de tout nous expliquer à la fin, clairement.


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Je connais très peu les péripéties de Miss Marple mais j'aime beaucoup la collection BD des Agatha Christie alors je me suis laissée tenter. Faut un début à tout, peu importe le support =) Comme toujours, le scénario est plus compliqué que ce que l'on pourrait croire et c'est sacrément bien ficelé ! Le graphisme offre un charme désuet à l'histoire mais bémol, les visages des femmes blondes étaient trop similaires (à l'aide pour les reconnaître).

Excellente découverte que cette bd très bien dessinée et documentée sur les années 50.

Aux travers des automobiles Citroën, la Traction et l'arrivée de la Ds19 les aventures d'un pilote amateur rêvant de victoires et de lumière et prêt à tout pour y parvenir

Dans ce premier tome la femme d'un des responsables de Citroën lui servira de tremplin du moins pour obtenir un train de pneus

Une robe de chambre mettra cependant temporairement un frein à ses rêves de gloire

Grâce encore à une femme il accédera à une nouvelle marque .. au travers de la 356

Dans cette bd nous retrouvons une enquête mené par notre célèbre Miss Marple. Avec sa perspicacité légendaire elle va rechercher les indices qui vont lui indiquer qui est le meurtrier. J'ai trouvé cette bd intéressante et bien réalisé. La mise en couleur est chatoyante et le graphisme est génial quand au scénario il est conforme à l'histoire originale d'Agatha Christie.

8 novembre 1942, opération Torch.



Arrivée des Alliés en Afrique du Nord française. Ils prennent au dépourvu les forces fidèles à Vichy. C’en est fini de la neutralité américaine à l’égard de la France du maréchal Pétain.

Les aviateurs français enfourchent leurs montures, du moins celles qui n’ont pas été détruites au sol, et affrontent les alliés.



Les combats ne durent guère. Il va maintenant falloir fusionner ces pilotes vichystes avec ceux de la France libre… C’est loin d’être gagné…



Critique :



Excellente idée de porter les regards sur l’opération Torch, très méconnue, et qui pourtant va beaucoup aider à la mise au point d’Overlord, le 6 juin 1944 car c’est la première fois que les alliés effectuent des débarquements d’une telle ampleur. Mais ce n’est pas la préoccupation de l’auteur, Philippe Pinard, qui nous montre tout depuis le point de vue des pilotes français fidèles au maréchal Pétain. Le scénario est souvent décousu et j’ignore quelle était l’intention de l’auteur avec la première et la dernière planche qui n’ont rien à voir avec l’Afrique du Nord. Une tentative d’idée géniale ? C’est raté…



La grande force de cette BD, c’est la qualité du dessin et des couleurs d’Olivier Dauger. Ses avions, en particulier, sont d’une incroyable fidélité.

C'est un super bon livre sur la 2e guerre mondial.

Je le conseil a tous.

Pinard nous raconte un pan intéressant et méconnu de la Seconde Guerre mondiale avec cet album. Un moment qui mérite d'être découvert.
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La qualité des reconstitutions met en avant l’aspect précis et méticuleux de la documentation peut-être au dépens d’une narration un peu sage ou trop lisse.
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Ciel de Guerre conserve son intérêt et son originalité (...) et on en vient déjà à regretter que le prochain tome vienne clôturer une série susceptible de plaire autant aux amateurs d'histoire que d'aviation.
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Un excellent troisième tome qui fait de Ciel de Guerre, une œuvre phare de la collection Cockpit.
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Cocardes en flammes est un tome tout aussi surprenant que le premier qui nous donne bien envie de lire la suite.
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Olivier Dauger signe des planches aériennes impressionnantes, tant dans le mouvement que dans la représentation minutieuse des avions.
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Ça se passe à la veille d'un grand match de football, à l'heure de l'entrainement dont l’entraineur de cet équipe qui s’appelle Christian Silvic et surnommé par ses joueurs "Respect Civique" .Un joueur de l'équipe qui se nomme Antoine, découvre que leur entraineur est atteint de l'Hépatite C et cherche à aider son entraineur à s'en sortir !



Maintenant vous voulez savoir par quels moyens il l'aide ? Alors continuez, lisez le livre !



Je trouve ce livre intéressent car de plus en plus d'entraineur sont atteints de maladies ..

Une BD homogène, et que j'ai surtout appréciée par la qualité de son écriture. Le personnage central est un peu "coureur de jupons", mais on apprécie son dynamisme et son envie de continuer à avancer quels que soient les événements !

Si ce premier album enfreint les limitations de vitesse, il respecte malgré tout les codes du genre.
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Dans cet album, il y a du Jacques Martin, à ses plus belles heures, mais aussi du Floc’h. Les influences sont bien présentes et maîtrisées. Le développement des personnages permet l’élaboration d’un style propre qui permet de s’exonérer en partie de cette inspiration qui peut parfois être pesante. Le scénario tient le pavé, alternant périodes de course au rythme tonitruant et périodes plus calmes de préparation ou de vagabondages hors de ce cadre.
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A la finale on a un album très sympathique, bien dans la logique technique de cette collection qui continue de ne pas s'adresser uniquement aux amateurs du genre, ce qui est, à mes yeux, un plus !


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Promoteur amoureux de la ligne claire, [Olivier Dauger] réussit parfaitement à rendre convaincante cette histoire, en renouant avec la justesse et l’efficacité d’un style graphique qui a fait le succès de ce genre d’histoires. Si la nostalgie affleure parfois, la forme et le fond témoignent d’une véritable création. L’album est techniquement irréprochable.
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