Olivier Delcroix

"En grandissant, j'ai compris que j'étais différente des autres filles parce que je n'avais connu ni baisers, ni promesses au cours de ma vie. Souvent, je me sentais seule et je voulais mourir. " Marylin Monroe.





Prologue:

Los Angeles, 5 septembre 1962..

Marylin avait disparu comme un astre de beauté, comme l'étoile filante que Cappa contemplait dans le ciel. Les lumières de la cité faisaient concurrence au firmament. Mais, les stars d'Hollywood, comme Marylin, éclipsaient les étoiles...





Avec Bert Stern, il avait photographié Marylin Monroe nue, nimbée de la lumière de 3 lampes "mandarines" et d'un réflecteur argenté.

Marylin avait beaucoup maigri et était encore plus désirable.

Cappa respirait "son odeur enivrante et sa peau duveteuse comme une pêche sentait le Chanel N°5" ( elle dormait enveloppée, par ce parfum!)





Il plaisait à Marylin et il le sentait aux regards que lui lançaient l'actrice.

Marylin avait tourné "The misfits", et avait consigné ses impressions dans son journal intime, un carnet rouge. Et, Cappa recherche ce fameux carnet...





Peter Lawford, un acteur membre du " Rat Pack", avec Dean Martin et Franc Sinatra, soupçonné de frayer avec la Mafia, lui montre des feuillets polycopiés, écrits de la main de Marylin, issus du carnet rouge... Mais, des flingueurs du gangster Sam Giancana sont à leurs trousses!



Marylin allait convoquer une conférence de presse. Elle raconte dans son carnet qu'un membre du" Rat Pack" et Kennedy ( lequel?) l'ont obligée à coucher avec Sam Giancana, gangster et collaborateur de la CIA...

Et qu'à propos du tournage de "The misfits"...





Epilogue: Sam Giancana, à propos de JFK « le 22 novembre 1963 (...), il y a eu un coup d'État aux États-Unis ; c'est aussi simple que ça. le gouvernement de notre pays a été renversé par une poignée de gars qui ont foutrement bien fait leur boulot. Personne n'a su ce qui était arrivé. Mais moi, je sais. Je sais que j'ai assuré l'avenir du milieu, une fois pour toutes. »

En 1975, à la mort de Sam Giancana, le F.B.I. surprit une conversation téléphonique dans laquelle Santos Trafficante indiquait : « A présent, seules deux personnes sachant qui a tué Kennedy sont vivantes et elles ne parleront pas"



"Il me semble que tu aies vécu ta vie

Comme une bougie en plein vent [...]

Ta bougie sera depuis longtemps consumée

Que ta légende continuera à vivre ." Elton John, Candle in the wind.

Hergé et son œuvre n'ont pas fini de faire couler d'encre ni de susciter de nouvelles études et commentaires.

Le mythe Tintin perdure.

Olivier Delcroix joint, avec bonheur et sensibilité, ses souvenirs de jeune tintinophile partagés avec son père, et les rencontres et reportages vécus bien après la disparition de Hergé.

Ce livre me touche, par cette intemporelle proximité que je ressens toujours avec l'œuvre du père de la Ligne claire... Ce lien qui unit les génération, par une lisibilité du dessin et une fluidité du récit des aventures de Tintin.

Quel tintinophile, de tout âge, n'a pas vécu au moins une fois, une situation rencontrée dans l'un des vingt-trois albums d'une série-phare (sinon LA série-phare) de la Bande dessinée?

Quel tintinomane sincère, ne serait désolé en voyant l'héritage de Hergé verrouillé voire momifié par certain marchand du temple?

Voilà donc un ouvrage qui ne contient pas de scoop , mais qui resitue bien quelques évènements-clefs du pendant et après - Hergé jusqu'au début des années 2000.

Un livre de bonne remise en perspective qui pourrait gagner à une actualisation (l'édition est de 2006, tout de même...)

Un excellent dictionnaire qui en dépit de son petit format est une mine de renseignements pour qui s’intéresse au 9e art. À chaque personnage, sa description complète avec son origine et ses auteurs, dessinateur comme scénariste. Remis dans son contexte historique le “héros”, homme ou femme est l’objet d’un portrait précis, textuel comme graphique, avec l’essentiel de ce qu’on peut en retenir.

Le plus : ses dimensions réduites et un index pratique.

Le moins : sa diffusion réduite à la boutique du “Figaro Store” néanmoins accessible à tous.

Très bien raconté et dépaysant!

Une bible sur le sujet. J'ai été très impressionnée par la qualité de l'ouvrage, par le texte et par les images. Les fans de super héros seront ravis de feuilleter un ouvrage aussi complet qu'intéressant.



Depuis quelque temps nos cinémas regorgent de films de super héros, le genre s'était estompé dans le temps jusqu'à sa réapparition quasi soudaine et depuis, sa démultiplication. Thor, Avengers, Iron Man, X-Men, Batman, Superman, Les 4 Fantastiques... J'ai vu quelques-uns de ses films, espèrent voir les autres et en attends encore bien d'autres. J'avoue, j'ai pris goût à ces films d'un genre différent et ce livre est unique, il m'a totalement enthousiasmée. C'est la couverture et le titre qui m'a de suite attirée pour l'emprunter, moi qui aime les superhéros et le cinéma, ce livre me paraissait génial.



Il remplit toutes mes espérances. Il est vraiment très complet dans les informations données. Tous les super héros sont présents, des plus connus au plus discrets : histoire, fiche d'identité, biographie, création, films. Ils ont tous répondu à l'appel de l'auteur. Chaque chapitre sur le héros en question est détaillé de manière simple, mais précise, ce qui permet de redécouvrir certains ou de se renseigner sur son favori. Bien sûr, la genèse est là, les comics sont la base de départ. Ce n'est pas non plus une encyclopédie, il y a une analyse poussée pour chacun d'eux, des dossiers thématiques : costumes, sur les pouvoirs magiques, supervilains, etc. Pour s'y retrouver, le sommaire en fin d'ouvrage est très appréciable et permettra une lecture spécifique, un feuilletage rapide sur une figure en particulier ou un thème précis.



Le texte est donc de très haute qualité. Un néophyte comme un confirmé trouvera son bonheur, le tout est de rendre accessible un monde singulier : celui du super héros. Les analyses sont souvent pertinentes, toujours passionnantes et l'on se laisse le lire et le relire. Le style est fluide, les mots soignés, je ne me suis jamais sentie perdue ou toute petite devant cette impressionnante base de données sur le sujet. On prend réellement plaisir à découvrir ce milieu. Les images sont de très bonne qualité également. Nous avons une grande variété d'images, des planches des comics, des affiches, des captures de films... en gardant à l'esprit que les images de films sont très nombreuses, elles collent avec le texte et permettent donc de mieux comprendre les théories écrites.



En résumé, j'adhère totalement à cet ouvrage que je juge être un grand coup de cœur. Il est bien écrit, très documenté, captivant dans ses analyses, esthétique dans le choix des images. C'est un bon et beau documentaire sur la thématique des super héros et de leur univers très riche ! L'ouvrage est complet et nous présente plusieurs héros : Tarzan, Hulk, Catwomen, Superman, Captain America, Blade, Green Lantern, Spider-Man, Daredevil... Ligue des Justiciers, Avengers ou héros indépendant, il y a même une catégorie autour des relectures, des pastiches et des parodies. Bref, pas le temps de s'ennuyer dans le monde du comics porté à l'écran, le sujet est très bien exploité, je vous le conseille vraiment s'il vous tente !
Lien : http://la-citadelle-des-livr..

On n'apprendra peut-être pas grand chose de nouveau, si on a déjà lu les biographies des grands Tintinlogues, mais ce livre est très bien écrit, partant très agréable de lecture.

L'auteur personnalise son angle d'attaque, avec un bel et émouvant témoignage à son père.

Il va hanter les lieux mythiques, rencontrer des héros et des proches d'Hergé (Tchang, le Jacques Martin d'Alix et de Lefrancq notamment, Fanny ...), assister à des moments d’anthologie.

On y trouve aussi un beau développement de Michel Serres, qui devrait faire date.

C'est un moment plein de douceur que cette lecture à l'ombre du père de Tintin, à la recherche de son fantôme.

Je le recommande sans risque.

L'auteur nous livre là un livre personnel -trop, peut-être- sur la place de Tintin dans sa vie tout autant que sur certains à-côtés de l'œuvre majeure d'Hergé. Intéressant et assez émouvant, en tous cas.

Olivier Delcroix retrace cette longue marche [des super-héros] avec précision et exhaustivité.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..

Livre sans doute écrit pour le parfait néophyte en Super-Héros, qui ne connaissent rien à cet univers ou presque rien (si ce n’est dans les films). Car avec l'histoire raconter des les films on est loin très loin de la vérité des Comics book.



L'auteur imbu de lui même essaye de vous faire avaler sa vérité de petit gratte-papier d'un quotidien français très connu. On à l'impression que l'auteur essaye de recevoir des bons points en disant du bien de tous films Disney (pot-de-vin ?), puisque Marvel est devenu Disney depuis un petit temps déjà. Très malheureuse transaction (comme Star Wars) je devrais dire puisque depuis cette époque Disney massacre tout ce qu'ils peuvent. Dans ce cas on parle de studio gangréné par le fric sans la moindre éthique.



Puisqu’on parle de Disney je ferais un peu plus loin une légère parenthèse pour développer mes propos. Car je ne vais pas mâcher mes mots en restant toutefois poli. Ici je ne vais pas cracher sur ce livre, qui le mériterait vraiment, mais je vais argumenter comme quelqu’un d’intelligent.



D’abord je n’en suis pas à mon cout d’essais avec l’auteur de ce livre toujours avec la même maison d’édition qu’il faudrait franchement penser à brûler. A croire qu’ils valident n’importe quel bouquin quand il s’agit d’un gratte-papier. Olivier Delcroix ne se foule pas lorsqu’il écrit un livre. Il se documente sans faire le moindre travail de terrain. En résumer il se repose sur le travail des autres en y allant de ses petits commentaires sans intérêts.



Le livre commence déjà très mal lorsqu’il parle de Zorro et Tarzan comme les précurseurs des Super-Héros. Totalement ridicule puisque ces deux personnages sont plus dans l’appellation de Héros. Justice est leur cheval de bataille certes mais de là à leur dédier un article et disant d’eux que ce sont des précurseur des Super-Héros j’en ai pleuré de rire. Certes ont peut dire d’eux qu’ils ont inspiré les auteurs de comics books (encore que) mais de là à les définir comme telle parc qu’ils ont une cape ou se déplace de lianes en lianes, c’est un peu simpliste comme théorie. Alors oui les dessinateurs des comics ont puisé là dedans mais appelons un chat un chat sans commettre d’impair.



Et des impairs ce livre en est rempli. On faite ce n’est pas impair que je devrai dire mais plutôt erreurs à répétions. Je vais prendre par exemple la plus grosse erreur de livre car si je devais toutes les cités je pourrais moi aussi écrire un livre. Il décrit Nolan comme un géni qui réinventé le genre du Super-Héros avec son Batman plus réaliste. En faite Nolan n’a rien inventé puisqu’il à puiser toute ces idées dans un comics Book des années 1990 soit plus de dix avant Batman Begins. Par exemple la Batmobile n’a pas été inventé par Nolan mais est issue de trois Batmobile différentes. En gros Nolan a pris ce qui l’intéressais pour écrire une histoire à la limite de l’insipide en se moquant complètement des vrais Fans. Car quand Batman se fait brisé la colonne il ressort pas comme magie d’un trou mais est remplacé par Azrael qui reprend le costume de Batman. Et Azrael c’est du vrai psychopathe. Autre chose que la version de ridicule de Nolan avec un Christian Bale qui en avait plus que marre de jouer l’homme chauve-souris.



Pour revenir au livre qui est une aberration, selon moi. L’auteur nous montre clairement de quel public il fait partie. En bref pour lui un bon film c’est un film qui à fait des records au box office et qui est acclamé par la critique et parfois par le public. Et surtout pour lui un bon film c’est pleins d’effets spéciaux avec des acteurs très moyens. Après tout on s’en fou les effets spéciaux sont là pour rattraper tout. Quelle superbe mentalité vous trouvez pas ?



Le temps pour moi d’ouvrir la parenthèse de tout à l’heure en revenant sur Disney puisque de toute évidence l’auteur vénère ce studio. Sa critique sur Star Wars 8 dans son quotidien est révélatrice, elle est insipide sans saveur et surtout on se rend que Olivier Delcroix ne connait rien de l’univers Star Wars pour venir lâcher de tels inepties. Un bide total un massacre sans nom. Mais pour Olivier Delcroix c’est une réussite sur tous les plans à partir que le film a battu des records au box-office. On a envie de pleurer quand on lit cela.



Donc c’est sur ce concept ridicule que ce monsieur juge les films. Il va même plus loin dans ses développements en disant que les vieux films « c’est de la merde » comme le disait Jean-Pierre Coffe. Je vais apprendre quelque chose à Monsieur Delcroix on juge un film selon son époque et pas avec 50 ans de recule. Les premier Capitaine América, 4 fantastiques, the Shadow et autres étaient certes mauvais au niveau des effets (quoique quand on voit star wars 8), mais ça n’était pas cela qu’attendais le public de l’époque mais un jeu d’acteur à la hauteur de leur personnage. Et à la hauteur ils l’étaient franchement. Quand je regarde ces vieux films je me dis toujours ça s’était des acteurs qui avaient tout compris sur leur personnage. Maintenant on frôle le ridicule.



Bref ce livre c’est de la propagande pour l’univers Disney et grosses productions, le monde du fric pour résumer. Les vrais Fans des vrais Super-héros des Comics tout comme moi seront vitre très déçu par ce livre qui au final n’est rien de plus que du papier imprimer pour rien…

Mis à part une introduction des plus intéressantes le reste du livre est des plus basiques, pouvant être écrit par n'importe qui fait un travail de fond sur le cinéma. Certes certaine anecdotes de tournage sont vaguement intéressante, mais pour le reste on à l'impression que ce livre à été écrit par un élève voulant faire un bon exposé lors d'une élocution.



Les films références de l'auteur sont le plus souvent discutables. Prendre Fast and Furious comme référence des films culte est totalement risible. Sans parler du fait qu'il présente cette pseudo saga comme une référence des films de course poursuite. D'autres films on fait bien mieux dans le genre, style Jour de Tonnerre, qui ça au moins est un film culte.



L’intitulé de ce livre est cinéma du film d'action américain hors l'auteur nous parle par moment de films qui n'ont rien à faire dans ce livre. Voici quelques exemples mais il y en a trop pour les citer tous : Indianna Jones (film d'aventure), Quaterman (film d'aventure), A la poursuite du diamant vert (film d'aventure), Conan (fantasy), Transformers (science/fiction) Matrix (science/fiction). Bref l'auteur à force de ratisser large plante complètement son sujet, c'est un ratage complet.



De plus il cite des films plus que moyen, alors qu'il en existe tant d'autre. Voici d'autres exemples qui aurait pu faire partie l'ouvrage et qui aurait rendu ce dernier plus intéressant Chain réaction, Déjà-vu, Uss Alabama, Man on fire, Chasse à l'homme, le Fan, le Dernier samaritain, Piège en haute mer, Assassins, L'expert, Passager 57, L'art de la guerre, Drop Zone...



Comme je l'ai dit l'auteur passe complètement à côté de son sujet en confondant même les styles parce que à ce moment là n'importe quel film peut devenir un film d'action à partir du moment où il y a une scène qui bouge un peu plus. Jusqu'a preuve du contraire un film d'horreur n'est pas un film d'action, mais si on suit la théorie de l'auteur tout devient film d'action avec lui. Comme je l'ai déjà dit ce livre est un ratage complet moi qui ai déjà lu ce type de livre d'autres auteurs qui eux moins quand ils traitent un sujet ne se gourent pas de répertoire.

Véritable tourbillon, le livre Le Cinéma d'action américain ravive des tas de souvenirs de courses folles, à pied ou motorisées.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..

Lien : http://ocommecolomb.blogspot..

Olivier Delcroix a réussi la gageure de réunir dans un même ouvrage tous les super-héros que se partagent DC Comics et Marvel au cinéma [...] au-delà de la dimension universelle de ces héros aux vertus fantastiques, c'est aussi le réenchantement de l'enfance que vous trouverez dans Les super-héros au cinéma
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..