Mon propos est simplement de rappeler que le territoire, le pays et même la nation n'existent pas par essence et qu'il convient donc de relativiser ces notions qui ne sont que des outils à mettre avant tout au service des peuples. Et que le fait de sacraliser à outrance ces notions cause plus de maux qu'il n'en résout. Disons le plus prosaïquement : si chacun s'en foutait un peu plus, le monde irait beaucoup mieux. (11)