… Ignaz s’inscrit ainsi dans une philosophie politique empruntant certes au romantisme, serti dans une vision de l’histoire comme vecteur d’un peuple maître de son destin, mais aussi au libéralisme dans sa sublimation de la liberté tant individuelle que collective.
L’histoire est parfois le fruit de contextes particuliers, de circonstances économiques ou politiques, mais aussi de l’action de personnalités hors du commun ; mais négliger leur rôle reviendrait à dénier tout mérite à tous les autres individus, célèbres ou inconnus qui ont œuvré avec eux. Ce serait injuste et, surtout, fermerait tout accès à une compréhension globale de l’histoire.
… Chez lui, philosophie et médecine ne peuvent qu’être indissociables, dans la quête de la vérité humaine qui le guide.