L’atmosphère du métro créait une communauté sauvage sans chef et sans guide, addition de microgestes favorisant l’allure rapide et nerveuse, le besoin de participer à un ensemble plus grand que soi et qu’on ne saurait décevoir en s’arrêtant. Seuls les concerts offraient la même sensation, mais avec une foule statique. Ici, pas de ferveur, pas de cri, l’apogée du mouvement pour le mouvement, l’expression ultime des corps sans aucun esprit, aucune intelligence.