On meurt tous un jour de la seule maladie qui restera inexorablement incurable, ma Solveig : la vie. Certains s’épuisent plus vite que d’autres à combattre cette infection sexuellement transmissible et ce ne sont pas les moins fragiles qui résistent le mieux. Non, au contraire, les plus forts consument leur existence incandescente et nous quittent souvent plus vite que les autres.