Au bout de sa lecture, Murello n'avait rien appris des châtiments réservés aux mauvais croyants et aux consommateurs de la substance interdite. Tout juste avait-il trouvé une phrase rassurante, au détour d'une page : l'intégrité du corps humain étant essentielle aux yeux de la Sainte Sagesse, aucune torture n'était tolérée si elle risquait d'aboutir à une mutilation.