Un vrai sourire.
Son frère avait retrouvé le goût de vivre, pensa Shûji. Ce vieux visage souriant lui faisait penser à quelque Bouddha rustique. Depuis combien d'années je n'avais pas vu mon frère rire ? se demanda -t-il. Combien de dizaine d'années, peut-être...(p. 294)