"Nous sommes devenus fous avec la vie facile
Nous sommes
devenus fous avec la vie facile, Vin dès le matin, gueule de bois le soir,
Comment puis-je garder cette gaieté oisive,
Ta rougeur, ô peste ivre ?
Une cérémonie angoissante dans une poignée de main, Des
baisers nocturnes dans les rues,
Tandis que les courants de la parole s'alourdissent,
Et que les lanternes brûlent comme des torches.
Nous attendons la mort, comme le loup de conte de fées,
Mais j'ai peur que le premier à mourir soit
Celui avec la bouche rouge anxieuse
Et le toupet couvrant ses yeux.