Lorsqu’on perd une personne proche, quel que soit son sexe, cette séparation réveille le souvenir de la séparation initiale d’avec la mère ; et la tâche douloureuse, qui consiste à détacher la libido de cette personne et dont Freud a reconnu l’expression dans le deuil, correspond à une répétition psychique du traumatisme de la naissance.