Weininger se considère lui-même comme un criminel ; ce qu’il dénonce : le mensonge, la duplicité, la cruauté, le meurtre, le sexe, il le porte en lui, il le voit en lui, il ne voit même plus que cela. Et, juste avant de se donner la mort, l écrira : « Je me suicide pour ne pas avoir à tuer quelqu’un. » Il vit dans l’obsession de tuer.
[préface de Roland Jaccard]