Ce qu’il y a de nouveau dans ma vision est que l’homosexualité ne correspond plus à une régression ou à un arrêt prématuré du développement, n’est plus une anomalie, un résidu d’indifférenciation, mais fait partie, en tant que sexualité propre aux formes sexuelles moyennes, de la chaîne ininterrompue des sexualités intermédiaires correspondant aux formes intermédiaires qui sont les seules réelles, les formes extrêmes n’étant qu’idéales.