L’homme a les mêmes contenus psychiques que la femme en forme articulée ; là où elle pense plus ou moins en hénotismes, il pense, lui, immédiatement en représentations claires et distinctes, auxquelles se rattachent des sentiments exprimés et permettant toujours l’abstraction par rapport aux choses. Chez F, le « penser » et le « sentir » sont un, non-séparés, tandis qu’ils sont distincts chez H. Ainsi F vit un grand nombre d’événements psychiques sous une forme hénotique qui chez H ont passé par un processus de clarification. C’est pourquoi la femme est sentimentale et ne saurait qu’être émue, non bouleversée.