Là, j’y trouve des Aryens qui débouchent de l’étage pour se précipiter vers le rez-de-chaussée. Je ne me pose pas de questions, je profite de la panique générale pour me glisser parmi eux. Après tout, je suis moi aussi une Aryenne. Rien ne me distingue plus d’un autre Aryen. La seule nuance entre ces gens et moi, c’est l’origine de la peur qui ternit notre regard. La mienne se base sur la crainte de me faire capturer, la leur cristallise leur rejet des personnes comme Élias. Les gens différents.