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4.4/5 (sur 62 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Pierre Lucas est le pseudonyme collectif de Michel Carnal (1928-2008), Pierre Lavigne, Fred Noro (1930) et Jean-Pierre Bernier.

Ces auteurs signent du pseudonyme collectif Pierre Lucas les titres de la série "Polices des mœurs", publiés aux éditions Vauvenargues.





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Citations et extraits (34) Voir plus Ajouter une citation
- il a une eu une belle mort.
une seconde, sans avoir le temps de se rendre compte..
c'est chouette, la crise cardiaque.
- une balle dans la tête aussi, vu sous cet angle.
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- il n'y a pas que des salauds
au gouvernement,il y a aussi des incompétents.
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Rue de Lutèce, dans le bureau du fond, le commissaire agitait le télex. Il disait :
- Cette vieille crapule s'est fait coincer à Amsterdam.
L'intonation était grinçante et cela surprenait. Chez les flics, tout le monde avait entendu parler de l'abbé Théobald - et avait tendance à en rire.
...Prêtre chassé de l'Eglise, pédophile, mythomane, escroc...Pendant trente ans, il avait grugé les jobards avec des "reconstituants" miracles, Juvental, Verginol ou la Vitaline du Père Théobald, qui lui avait valu des dizaines de procès. Cela ne l'empêchait pas de continuer à passer des annonces dans les petits journaux pour l'Elixir du Révérend ou la Dextrapine...
Avec ça, le physique pour : dodu, lunaire de visage, le sourire bonasse, le geste bénisseur. Il avait bien soixante ans, en paraissait quarante et s'en prévalait dans les prétoires.
- ... Ma Vitaline, monsieur le Président...Une dose par jour, une seule et huit fois la nuit...Je ne saurais trop vous la conseiller...
Les avocats étaient pliés en deux, la salle aux anges.
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Griffon jeta son imper sur la chaise.tout le service avait déménager du quai
des orfèvres a la rue de Lutèce.le commissaire
avait de nouveaux bureaux
qu'il n'aimait pas encore.
- je ne sais pas comment on va pouvoir travailler,
dit il.je viens de chez le
divisionnaire...ça recommence...
Sophie Leclerc ne demanda
pas ce qui recommençait.
c'était une jolie jeune femme qui n'avait pas la
vie facile, parce qu'il n'était
pas facile d'être flic et jolie
femme.
- faut plus approcher les indics, poursuivait griffon.
l, indic, c'est sale et ça pue...on veut une police qui sente la rose...fini la
caisse noire...terminés les
contacts dans le milieu.
sinon, c'est l, I G P N . tant
pis si nous n'avons plus de
tuyau! tant pis si nous ne
sortons plus d, affaires!
on remplace l, informateur par l, informatique.bientôt ils vont faire arpenter les rues
par les ordinateurs....parce que c'est quand même
dans la rue que ça se passe.et qu'on ne me dise pas que je suis un vieux con.
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- Tu vas pas me faire enchrister ? On va pas me renvoyer en Allemagne pour être jugée ?
- Non
Elle se mordait les lèvres. Elle n'avait plus le choix.
- Mais je suis à ta pogne, c'est ça ? Si je ne fais pas tout ce que tu veux...
Gribovitch se mit à rire et lui tapota l'épaule.
- T'as tout compris, chérie. T'es dans ma pogne...Et si je serre, ça fera crac.
Il répéta "crrrac" comme s'il écrasait quelque chose. Elle le regardait. Ça ne pouvait pas être un flic même étranger. Tous les flics étaient pareils. Ils causaient pas comme ça. Un vrai flic lui aurait déjà passé les pinces...Alors, c'était qui ? Un espion, comme Théo disait qu'il en avait connu ?
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entre le silence et la distance,quel est l,ennemi
de l, amour 😍
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- tout à été inattendu,imprévisible.expliqua Savary.
- un flic futé,c,est celui qui prévoit l,imprévisible,le coupa griffon.prévoir le prévisible est a la portée de n.importe quel con.
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avoir une gueule de faux cul a ce point là, c'est de la
franchise.
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une fille devrais être comme un papillon,magnifique a regarder,dure a prendre dans ses filets.
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- je sens que je vais bien m, entendre avec vous, dit Alida.
- en quel honneur? s,enquit
gribovitch.
- parce que vous me rappeler mon vrai tonton et ma vrai frangine: cul et chemise et poil à gratter.
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