La matinée était grise et froide, mais je me sentais serein et je marchais d'un pas ferme. Ah, comme c'était bon d'être vivant, de sentir la pluie dégouliner sur mon visage et le gravier crisser sous mes pieds. Il y avait un monde là dehors, qui attendait que l'on prenne contact avec sa somptueuse trame. Je n'avais plus qu'à me détacher de la noria, faire un pas de côté et reconnaître combien mes efforts avaient été futiles jusqu'à ce jour.