Chaque fois qu’un crime est commis, on raisonne en ligne droite: victime-bourreau. Mais il y a un troisième point de vue, le point de vue de celui qui reste. Qui reste vivant, qui reste dans l’attente, qui reste et combat, contre tout et tous, contre cet engrenage confus qui s’appelle «justice». Ils restent, ce sont les survivants.