Qui sait cela n’a pas à attendre la vieillesse comme temps des regrets ou de l’achèvement, qu’il anticipe plutôt sa mort pour la rencontrer sur le sentier des illusions fleuries. Qui sait cela peut embrasser tout le cours de son existence et de tous ses instants, qu’il se situe en amont ou en aval, sans en altérer la densité ou la profondeur.