L’entredeux ne limita pas son intervention à ces simples phrases. Il puisa à nouveau dans son énergie comme il l’avait fait pour combattre Faël et jeter la pierre de sang par les fenêtres du château du renard blanc en se servant de la force du vent. C’est ainsi qu’il qualifiait cette partie du don de communion avec la nature. L’action lui réclamait concentration et énergie. Car l’exercice était extrêmement fatiguant. C’était un peu comme s’infliger dix heures de sport en quelques secondes.