L'âme blessée
Il faudra bien un jour se rappeler des livres. Comme nous nous souvenons des hommes. De ce qui, constituant les uns, provient des autres, si tant est que les livres aient à se souvenir des êtres. Ceux-là qui comptèrent, et sans qui nos vies eurent été différentes. Il n'empêche. Ils appartinrent au cercle des premiers compagnons de ce qui nous apprîmes tout. (p.57)