Anaïs apparut, empaquetée dans un peignoir de bain. Ses mains jointes fermaient l'encolure jusqu'à sa gorge. elle faisait des petits pas de Japonaise. Ses orteils humides laissaient des empruntes sur le parquet. Elle s'assit sur le canapé, elle sentait bon.
"Tu as faim,?" demandai-je au bout d'une minute. Elle me sourit, acquiesçant de la tête.