Il commençait à comprendre pourquoi tous les garçons l’enviaient quand il traversait le village en sa compagnie. Il rapprocha encore son bras du sien jusqu’à les faire transpirer tous les deux. Il aima cette sensation autant que le spectacle qui se déroulait sur le grand écran : le croiseur de l’Empire et l’odeur de la délicate transpiration d’Émelyne, le géant en armure noire au souffle persistant et la respiration d’Émelyne, la princesse qui manifestement ne portait pas de soutien-gorge et Émelyne non plus…