Le jour de la mort de Polyxène, devant le tumulus funéraire d’Achille, je m’étais raconté que l’histoire d’Achille avait pris fin sur sa tombe, et que ma propre histoire allait commencer. La vérité ? L’histoire d’Achille ne se termine jamais : chaque fois que des hommes se battent et meurent, on trouve Achille. Quant à moi, mon histoire et la sienne étaient inextricablement liées.