Né(e) : 1957
Patrice Obert est un haut-fonctionnaire territorial, membre du Parti Socialiste.
Diplômé de sciences-Po Paris, licencié en droit, il devient en 1981 administrateur de la Ville de Paris (ENA promotion Droits de l’Homme 79-81) où il occupe depuis cette date de nombreux postes, dont des postes de directions.
Il est engagé dans la vie sociale en tant que président d’une association de dialogue inter-religieux, la Fontaine aux religions, et d’une association d’insertion de jeunes, Urgence-Jeunes.
Vice-président d’Écritures et Spiritualités, il a rejoint en 2002 le PS et en 2012 les Poissons Roses (il a été élu président en 2015).
Il est également membre du mouvement des Européens Solidaires.
Auteur de nombreux essais et pièces de théâtre, il met son expérience du terrain au service de son premier roman, "2017: Le scénario noir des législatives" (2016).
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Seule la démocratie est en mesure d'organiser une réelle transition écologique. C'est en renouvelant notre démocratie, trop abîmée, que nous serons capables de trouver les ressources permettant d'affronter avec quelques chances de succès cet obstacle inédit. Cet approfondissement dessine un enjeu social et éducatif, et nécessite un adossement spirituel. Sur la base d'entretiens et d'analyses approfondies des enjeux, des défis et des trajectoires susceptibles d'être mises en jeu, les Poissons roses ont élaboré vingt-deux propositions éducatives, institutionnelles, financières, sociales et écologiques pour faire advenir une démocratie implicative et territoriale, dont nous avons plus que jamais besoin. Les Poissons roses, plateforme de réflexion de chrétiens, à gauche, ont été créés en 2010. Ils militent pour une justice sociale dans tous les domaines, économique, social, environnemental et éthique, et ont publié aux Éditions du Cerf À contre-courant et le peuple invisible. Ont participé à ce groupe de travail Roland Baillet, Patrice Dunoyer de Segonzac, Michel Godron, Bertrand du Marais, Patrice Obert, Michel Simonnet.
-Omar…
Le jeune homme lève les yeux vers lui. Ses yeux verts clairs illuminent son visage de berbère.
-Khaled me dit que tu as déjà appris les prières, que tu sais réciter la Fathia ?
Omar hoche la tête.
La Faute ...😉
" Déjà il rêvait d'une thébaïde raffinée, à un désert confortable, à une arche immobile et tiède où il se réfugierait loin de l'incessant déluge de la sotise humaine ".
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