"Un homme se fixe la tâche de dessiner le monde. Tout au long de l'année, il peuple l'espace d'images de provinces, de royaumes, de montagnes, de golfes, de vaisseaux ... de maisons, d'instruments, d'astres, de chevaux et de personnes. Peu avant de mourir, il découvre que ce patient labyrinthe de lignes trace l'image de son visage." Pierre propose à Claude de faire le contraire de Borges, de décrire un visage comme un paysage et pose sur la table le portrait d'une vieille paysanne russe.