Patrice Woolley

Qu'une seule personne vous regarde et le monde devient beau.

Il pense que la terre fait semblant d'être heureuse,
tout comme les hommes qui tels des moutons font semblant d'être heureux.

On oublie toujours les gentils. La vie c'est comme au cinéma, les méchants sont plus intéressants.

La plupart des gens sont faux. C’est comme s’ils n’existaient pas. Ils n’existent que pour les autres, parés de masques et des convenances, pour paraître au mieux en toutes circonstances, pour ne pas faire de vagues, être acceptés du plus grand nombre ; être accepté par le troupeau.

C'est fou ce que l'absence d'une personne fait qu'on s'attache aux détails les plus communs.

On ne mendit pas l'amour, on le mérite.

Il est faux de dire que l'on est poussière et qu'à poussière on retournera. On arrive dans les larmes et on part dans les larmes...toujours.

Tony est inspecteur. C’est un flic fatigué, alcoolique et ravagé par la mort de sa femme. Au beau milieu d’une macabre histoire de meurtres en série dans un vieux cirque abandonné, il va rencontrer Linda, une jolie serveuse, qui va lui redonner goût à la vie. Mais n’est-il pas trop tard ? Ce cirque maudit n’est-il pas porteur de tragédie inéluctable ? Cinq cadavres démembrés, des petits vieux inquiétants, un nez rouge, une ambiance à la limite du fantastique... Trop de choses irrationnelles, trop de mystères pour un simple flic. Tony a toujours lutté pour sa vie, CIRQ rique d’être son dernier combat...

« D’une main tremblante, j’ouvre la porte... Je recule, pousse un cri d’effroi presque étranglé et je vomis d’un coup sans pouvoir me retenir... Je suis au sol, en train de dégobiller tout ce que je peux et mes yeux ne quittent pas l’_intérieur du frigo ; ils sont fixés sur ceux de Gomez qui me regarde sans expression. Il y a sa tête proprement posée dans une assiette... »

La guerre, quand on est en paix, heureux, c'est abstrait, toujours lointain; puis un jour, ça nous tombe sur le coin de la gueule.
Ce jour-là fut le dernier de ma vie.

il n'y a rien de plus terrible que d'être obligé d'obéir à un con.