Un complément librement développé par un indépendant s’appelait « l’aile de papillon ». Il était d’utilisation très simple : il suffisait de définir une action de départ pour en suivre les effets au niveau mondial sur plusieurs jours, avec possibilité de modéliser sur les années à venir. Un battement d’aile de papillon pouvait provoquer un ouragan à l’autre bout de la planète, disait-on. Il était désormais possible d’observer les effets d’un réveil plus tardif, d’un sourire ou d’un mauvais regard envers autrui.