« Si je n’ai que mes pensées à vous offrir, sachez qu’elles seront tendrement complices de votre souffrance. Si je n’ai que mon cœur à vous offrir, sachez qu’il est bouillant et gigantesque. Si je n’ai que mes bras à vous offrir, sachez qu’ils sont suffisamment grands pour vous enlacer tous les six à la fois. »