- Moi-même, j'aime assez les romans à l'eau de rose, confia Monica, à condition qu'ils soient bien écrits et pas trop larmoyants. En tout cas, je les préfère à ces romans psychologiques qui, au bout de six cents pages, se terminent par un suicide ou par une aube sans espoir. Parce que dans la vie réelle, quels que soient nos sentiments, nous devons persévérer dans la tâche qui nous incombe.