- Je suis un prêtre constitutionnel et concordataire, messieurs. J'ai approuvé ces bouleversements parce que je crois qu'on peut exercer un ministère sacré en se débarrassant des oripeaux d'une religion qui s'était détournée de l'essentiel, c'est-à-dire l'Homme. La Révolution l'aura remise au centre de toutes les préoccupations, car c'est l'humain qui est sacré, n'est-ce-pas ?