Par sa perception clairvoyante du genre humain, son engagement et son intégrité en tant que magistrat, Bao m'a amené à considérer l'idée de justice comme un bien commun. Un bien commun et un instrument dont le but final serait d'assurer l'équilibre de la société, et non une chimère politique qui hisse le tout répressif en étendard, en glaive se posant comme seule alternative au maintien de l'ordre, oubliant la balance.