- Juge Bai : Si tu es toujours sensible à la poésie mon cher Bao, aurais-tu la bonté de lire mes derniers poèmes ?
- Juge Bao : Mon bon ami Bai. Si ta poésie est aussi délicieuse que cette carpe, j'en serai ravi. Sais-tu que je lis chaque jour au moins une poésie ? Cela m'aide à comprendre le cœur des hommes dont la noirceur parfois me pèse, je te l'avoue.