Dès son arrivée au Brésil, Elisabeth est frustrée par le programme que lui a composé le gouvernement. Celui-ci s’est livré à une véritable surenchère afin de prouver à quel point le Brésil est un pays moderne et parfaitement européanisé. Elisabeth déteste qu’on cherche à lui travestir la réalité ou, du moins, à la parcelliser. Elle n’ignore pas l’existence des bidonvilles et regrette que les réceptions officielles ne laissent aucune place à la présentation des problèmes réels du pays.