- Soit entre les mains de Fernand et de son père, soit dans l’atelier de M. Rossi ! acheva Gaby d’un ton catégorique. Personne d’autre n’a pu y toucher… » […]
- Rien d’autre ?
- Si ! Papa a pris le cheval par les deux pattes arrière et l’a vidé sur le dallage du vestibule ; il avait le ventre plein comme un oeuf. Papa ne voulait pas l’apporter à M. Rossi dans cet état-là.
- Nous y voilà ! s’écria Gaby en sautant sur ses pieds. Qu’y avait-il dans le cheval ? […]
- Un bout de chaîne à vache, un crochet, deux boîtes de sardines, une tringle à rideaux, un
réveil-matin, une branche de tenaille, une timbale, une vieille clef…