Ton éclat, ton éclat
Jamais, jamais ne s’approchera…
Ton silence, ton silence
Ruisselle des branches.
Si bien que des corbeaux, des corneilles
S’étonnent et surveillent.
Alors, en hâte, sans alarme,
Saisiront au vol des larmes.
(…)
Date inconnue. Ruth Kraft propose 1940.