C'est gagné ! Le galion et le brick sont côte à côte et à bonne distance pour les canons et le mot « FEU » a été hurlé simultanément de part et d'autre. A ce même instant, la mer s'en mêle et une large vague forme un couloir creux entre les navires de sorte qu'ils s'inclinent l'un vers l'autre, le haut des mâts se rapprochant et les boulets crachés percutent le bas des coques, juste au-dessus des oeuvres vives. Les canons du galion étant plus nombreux et le bois de la coque du brick moins épais, il subit des avaries plus importantes et l'eau de mer s'y engouffre à volonté.