Noble et grand spectacle, il faudrait lire la brochure de Paul Fort pour jouir complétement de la fraîcheur, du mouvement de cette langue que le "Prince des Poètes" a forgée pour traduire le caractère de ces temps, sans archaïsme gênant pour un public contemporain ; ces beautés suffisent à classer un pareil spectacle comme une incomparable d'oeuvre d'art.
(critique écrite, en octobre 1924, au lendemain de la répétition générale, dans "L'Information" par André Antoine)