On est jamais prêt à souffrir, on parvient à s’y habituer à la longue mais aucun entraînement préalable ne met à l’abri de la stupeur et de la déroute hurlante où jette la première attaque de la douleur, d’autant plus qu’elle est multiforme et fertile en nuances. (…) On ne fait que projeter autour de soi son petit cinéma intime .p.89