Ses sentiments restaient à l'échelle d'un vocabulaire mesuré où transparaissait la timidité des humbles en face des mots. Pour parler de ses chagrins il disait "mes ennuis". Il disait "c'était dur" en parlant de Verdun et "je suis fatigué" lorsqu'il était malade. Il faut avoir des loisirs et une certaine fortune pour "adorer" ou "souffrir atrocement".