La population de la cité, un quart de million de personnes, était presque aussi dense que celle d'Abrusio, mais il y avait quelque chose de plus frénétique dans la patrie d'Abeleyn. Son extrême diversité de couleurs, peut-être. Son désordre animé dans la promiscuité. Si Val Ephrir était une grande dame digne qui accueillait ses invités avec une majesté souveraine, Abrusio était une vieille catin paillarde qui écartait les jambes au monde.