Si donc la physionomie du logement d'un vilain au treizième siècle était telle , que nous serions tentés d'y retrouver l'image à peu près complète des chaumières actuelles dans les plus pauvres communes de France , nous devons en déduire naturellement que la vie privée des habitants ne laissait pas d'offrir avec celle qu'ils mènent encore aujourd'hui une véritable analogie; car, aussi bien dans les châteaux que dans les villes, nous avons vu la condition matérielle des habitations se modifier en raison de la condition morale des individus.