Le personnel était parti. Nous nous tenions dans l'entrée de mon bureau, debout contre la porte fermée, attitude de sécurité. Elle se mettait à genoux, me déboutonnait, et sans quitter son chapeau, aussi gourmande qu'habile, me ... Le résultat délicieux n'était pas long. Je me rappelle combien, la première fois, j'avais un peu de gêne, que j'exprimai, de cette caresse. "Eh ! bien, quoi ? Ce n'est pas bon ? Je ne suis pas une bonne cochonne ?" Comme j'exprimais d'un mot ou deux que cochonne était bien modeste : "Je ne suis pas une bonne salope ?" Je la couvrais de baisers, tant je la trouvais délicieuse.