Le seul propos d’une « Science du Beau » devait fatalement être ruiné par la diversité des beautés produites ou admises dans le monde et dans la durée. S’agissant de plaisir, il n’y a plus que des questions de fait. Les individus jouissent comme ils peuvent et de ce qu’ils peuvent ; et la malice de la sensibilité est infinie. Les conseils les mieux fondés sont déjoués par elle, quand même ils soient le fruit des observations les plus sagaces et des raisonnements les plus déliés.