L'état de femme dans ses silences, ses tacites acceptations comme autant d'acceptations tues, de douleurs et de béances face au vide du quotidien auxquelles Paule Andrau donne voix. Livre assez oppressant, tendu dans une écriture qui laisse entendre le ressassement et le désespoir de trois femmes captives (sans soumission) de leur condition, de leur quotidien, Violence(s) est un livre sans fard, sur l'intime, son usure et ses désillusions. La vie dans ses contondantes vacuités.
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