Je nais seul, je meurs seul et d’une autre manière, je ne fais qu’un avec tout ce qui vit. Au fur et à mesure que se développe cette conscience de ne pas être identifié seulement à mon corps et de participer à toutes les formes de la vie, je comprends aussi l’existence d’une troisième voie, ni extérieure ni intérieure, qui me donne accès à l’amour universel : je suis amour.