Elle me demandera peut-être :
"C'est ma mère, Margaretha Mc Leod ? "
Et je répondrai :
"Je ne sais pas qui est cette femme. Toute ma vie, j'ai pensé et agi en Mata-Hari, celle qui a été et restera toujours la fascination des hommes et la plus enviée des femmes. Depuis que j'ai quitté la Hollande, j'ai perdu la notion de la distance, du danger, rien de tout cela ne m'effraie. Je suis arrivée à Paris sans argent et sans une garde-robe adéquate et vois comment je me suis élevée dans la société. J'espère qu'il t'arrivera la même chose.