Pedro Almodovar

On se perd un peu dans les films de Pedro Almodovar. Comme dans le cristal et l'obscurité des rêves, ou comme dans une vaste géographie, ou comme sur une scène qui se répéterait et dont les symétries et les variantes seraient censées contredire les impatiences du destin.

[Extrait de la présentation de Gérard de Cortanze, également traducteur avec Patricia Rey]